Le rire pur, le rire d'enfant, commence
avec la pleine acceptation de nos erreurs et préjugés. »
et aussi d'être heureux.. N'est ce pas ?
Le rire pur, le rire d'enfant, commence
avec la pleine acceptation de nos erreurs et préjugés. »
et aussi d'être heureux.. N'est ce pas ?
C'est dans la différence que se
cultive l'intelligence.
Anonyme
Les hommes sont differents dans la vie,
semblables dans lamort.
Lao Tseu
Corine Duchene se presente
Artiste professionnelle du spectacle vivant, j'ai pour vocation de sortir la culture des lieux habituels et d'apporter le Conte à tous les publics. Considérant qu'il fait partie du patrimoine de chacun et qu'il a besoin d'espace, j'aime conter sur les lieux chargés
d'histoire et dans la nature.
Spectacle sur scène ou sur site, balade contée, veillée plus intime, chacune de mes prestations est adaptée au lieu et à l'âge des auditeurs. Aux contes se mêlent souvent les chansons et la musique. Ma complicité avec le public fait de mes interventions des moments magiques, intenses en émotions.
contes antiques, du Moyen age, pour jeune public, contes traditionnels, chants aussi-
De quoi passer une bonne soirée
Le poison de la haine est violent,
celui de la rancune, du mépris ou de la colère l’est autant.
Et ce n’est pas l’autre qui vient le verser dans notre corps, c’est nous !
Nous devenons notre propre bourreau !
Le pardon, c’est arrêter le jeu du démon intérieur,
de la séparation du divin et rétablir le courant d’amour
qui va insuffler de nouvelles hormones dans le corps
et nous aider à mieux dormir, récupérer,
être en paix, libérer les toxines...
Même si ce n'est pas encore là, on peut y penser un peu...
Eau printanière, pluie harmonieuse et douce
Autant qu’une rigole à travers le verger
Et plus que l’arrosoir balancé sur la mousse,
Comme tu prends mon coeur dans ton réseau léger !
Jean Moreas
La vie ne souhaite qu’une chose : nous apporter ce qu’on désire le plus.
Mais nous l’en empêchons ! Nous nous faisons souffrir inutilement.
Pensez-vous que si on vous force à faire quelque chose, vous allez dire ok ? Personne n’a envie d’être forcé. La vie non plus. Elle sait ce qu’on désire mais veut le faire à sa manière !
. J’ai souvent espéré, attendu, désiré, forcé les choses. « Quand j’aurais de l’argent, je commencerais à faire ceci ou cela » ; « quand je serais heureuse en amour je pourrais me consacrer à… » quand, quand, quand …. ou encore : « Si telle personne fait ceci, je serais le plus heureux …. » etc…
Perdre à ce point le bonheur de danser avec la vie, le bonheur de vivre maintenant et on est totalement sorti du chemin. La vie est là, ici et maintenant.
Un indicateur précieux : Si vous perdez le plaisir de faire ce que vous êtes entrain de faire, si la légèreté et la joie de vivre font place à la lourdeur, l’inquiétude et l’angoisse, vous n’êtes plus dans l’acceptation et le détachement. Il est temps de vous poser, de vous questionner, de revoir vos enjeux et de vous recentrer sur ce que vous vivez maintenant. Il est temps d’aller vous amuser, de penser à autre chose, d’aller danser ou faire un bon jogging !
Il est temps d’oublier votre problème et de le confier à l’Univers.
Ils se sont mariés à New York,seuls les parents et quelques amis américains étaient présents, de belles photos dans le parc de Brooklin, la mariée très belle dans une longue robe, les mamans émues -
Elle française, enseignante, et lui américain acteur ..
Ils se sont connus en Nouvelle zélande...Jeunes et l'avenir devant eux...Moi qui ai connue Laurie ado, je découvre une belle jeune femme, rayonnante sur le diaporama -
Mais il va falloir trouver sa voie et du travail stable.
.Meilleurs voeux de bonheur -
"Le mental est un faisceau de pensées,
celles ci ne s'élèvent que parce qu'il y a un penseur,
le penseur est l'ego,
l'ego en le recherchant, s'avanouira automatiquement,
le mental et l'ego dont une seule et même chose,
l'ego est la pensée racine de laquelle
toutes les pensées s'élèvent" -
R Maharshi Qu'en pensez vous ?
Un poème bien connu pour repenser aux couleurs..
A noir, E blanc, I rouge, U vert, O bleu : voyelles,
Je dirai quelque jour vos naissances latentes :
A, noir corset velu des mouches éclatantes
Qui bombinent autour des puanteurs cruelles,
Golfes d'ombre ; E, candeur des vapeurs et des tentes,
Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles ;
I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles
Dans la colère ou les ivresses pénitentes ;
U, cycles, vibrements divins des mers virides,
Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides
Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux ;
O, suprême Clairon plein des strideurs étranges,
Silence traversés des Mondes et des Anges :
- O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux ! -
A. Rimbaud
Il pleut. J’entends le bruit égal des eaux ;
le feuillage, humble et que nul vent ne berce ;
Se penche et brille en pleurant sous l’averse.
Le deuil de l’air afflige les oiseaux.
Sully Prudhomme |